Avant le bain, 1929
par Karoly Patko,
Huile sur toile
Source: the-athenaeum.org.
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Le malade Alzheimer n'est pas dans la raison, mais dans l'émotion. C'est sur elle que les soignants et les aidants doivent s'appuyer pour établir une relation.
Avant d'animer une conférence, au centre des congrès d'Aurillac en France,le neuropsychologue Daniel Geneau multiplie les rencontres pour partager sa connaissance de la maladie d'Alzheimer.
Au-delà de 85 ans, une personne sur quatre souffre d'Alzheimer.
Qui est concerné ? Entre 40 et 60 ans, une personne sur 10.000 est atteinte. Au-delà de 85 ans, c'est une personne sur quatre.
La maladie est-elle héréditaire ? Dans 5 % des cas, oui. Dans les autres cas, la maladie est sporadique, mais quand même génétique. Il y a un facteur de risque, qui se transmet. Mais il a besoin pour s'exprimer de facteurs environnementaux. Donc on peut retarder, sinon éviter, la maladie par l'alimentation, l'exercice physique, le travail intellectuel, en évitant le stress, la dépression.
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Écoutez les propos de Daniel geneau et visionnez des extraits d'une de ses conférences, à Aurillac, en France.
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Les intervenants des services de soin de longue durée sont fréquemment confrontés à l’agitation de certains résidents lors des soins. La salle de bain en particulier se transforme quelquefois en véritable champ de bataille. Traitée souvent d’emblée avec des psychotropes, cette agitation ne cesse de nous interpeller. Que vit le résident lors des soins? Est-il agressif ou ne serait-il pas plutôt défensif? Si tel est le cas, de quelle agression nous rendons-nous coupables, qu’il lui faille se défendre? Que pouvons-nous changer? Y a-t-il une alternative à la médication trop souvent utilisée comme intervention de premier recours?
Dans le cadre de notre travail comme consultants dans la gestion des troubles du comportement, nous avons fréquemment constaté que cette agitation lors des soins est déterminée par l'approche que le personnel a envers le résident. Ainsi cette agitation se manifestera davantage avec certains intervenants qu'avec d'autres.
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Chantal Bernatchez
Directrices des services à la clientèle
Résidence Berthiaume-Du Tremblay
L'implantation de l'approche optimale dans un établissement n'est pas une mince tâche mais comporte de nombreux défis stimulants. Les bénéfices encourus sont palpables tant auprès des résidents et du personnel que sur la qualité du milieu de vie. Toutefois, avant d'amorcer cette démarche, il faut être prêt à mettre en place les conditions gagnantes à la réalisation d'un tel projet.
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Une formation PECPA a eu lieu à Paris les 3 et 4 octobre 2014. Organisée en partenariat avec l'Association nationale française des ergothérapeutes, la formation était ouverte à tous les professionnels de la santé.
La démence est disparue comme diagnostic dans le DSM-V. Cette étiquette diagnostique que plusieurs considéraient déjà comme dépassée est remplacée par le diagnostic de Trouble neurocognitif majeur tout en précisant la maladie qui en est à l'origine.
Cognitive Assessment Scale for the Elderly :
an overview of the CASE
The Cognitive Assessment Scale for the Elderly (CASE) was created as a screening tool for the differential diagnosis of various cognitive impairments observable in many diseases associated with old age. It was specifically designed to offer a psychometrically valid compromise solution between very short screening instruments, like the Mini-Mental State Exam (MMSE) (Folstein et al., 1994) or the Cognitive Abilities Screening Instrument (CASI) (Teng et al., 1994), and complete neuropsychological assessment batteries, like the Luria-Nebraska (Christensen, 1975), Halstead-Reitan (Halstead, 1947) or the PENO (Joanette et al., 1989).